mardi 8 novembre 2011

Voilà la Côte d’Ivoire Nouvelle !


"Comment accoucher cette idée qui trottait dans ma tête depuis la normalisation des choses en Côte d'Ivoire ?

Tout à l'heure après la lecture du Post sur son mur Facebook de mon Ami et Aîné Emmanuel Yao Ngoran et je cite :

Facebook, c’est comme un marché, on y trouve un peu de tout! Il y a des gens cool, avec qui ont discuté dans le respect des divergences. Il y a également des individus peu polis, qui ressemblent plutôt à des pierres brutes. Mais on fait avec tout le monde, dans la quête de la liberté d’expression, à défaut de convergence en vue de la création d’harmonie. De nos différences naît la richesse, lorsque la tolérance prime sur l’agressivité. En toute chose, il faut de la mesure.",

Il m'est venu à l'esprit l'histoire suivante pour ce qui concerne le cas de la Côte d'Ivoire.
Il s'agit de la fable intitulée « les porcs épics » racontée par le philosophe allemand SCHOPENHAUER(1788-1860).

Chers Ivoiriennes & Ivoiriens…,

En effet, à travers cette histoire l'auteur nous exhorte à la TOLÉRANCE suffisante qui procurerait le CONFORT nécessaire à l’épanouissement ou le bien-être de tout le monde.
Aussi, chaque ivoirien se trouve-t-il devant sa responsabilité de garantir la sécurité, la liberté... de tous pour que la sienne soit préservée, car figurez-vous "personne ne sera véritablement libre tant que tous les ivoiriens ne seront pas libres"


Tous ensembles…,

Lisez la fable et j'attends vos contributions !


"Les hérissons de Schopenhauer"

Un été, une famille de hérissons, vint s’installer dans la forêt, il faisait beau, chaud, et toute la journée les hérissons s’amusaient sous les arbres. Ils batifolaient dans les champs, aux abords de la forêt, jouaient à cache-cache entre les fleurs, attrapaient des mouches pour se nourrir, et la nuit, ils s’endormaient sur la mousse, tout près des terriers. 

Un jour, ils virent tomber une feuille d’un arbre : c’était l’automne. Ils jouèrent à courir derrière les feuilles, qui tombaient de plus en plus nombreuses et comme les nuits étaient un peu fraîches, ils dormaient sous les feuilles mortes. 

Or il se mit à faire de plus en plus froid, dans la rivière, parfois, on trouvait des glaçons. 
La neige avait recouvert les feuilles, les hérissons grelottaient toute la journée et la nuit, tant ils avaient froid, ils ne pouvaient fermer l’œil. 

Aussi, un soir, ils décidèrent de se serrer les uns contre les autres pour se réchauffer, mais s’enfuirent aussitôt aux quatre coins de la forêt, avec leurs piquants, ils s’étaient blessé le nez et les pattes. 

Timidement, ils se rapprochèrent, mais encore une fois, ils se piquèrent le museau, et chaque fois qu’ils couraient les uns vers les autres, c’était la même chose. 

Pourtant, il fallait trouver absolument comment se rapprocher : les oiseaux les uns contre les autres se tenaient chaud, les lapins, les taupes, tous les animaux aussi. 

Alors, tout doucement, petit à petit, soir après soir, pour avoir chaud, mais pour ne pas se blesser, ils s’approchèrent les uns des autres, ils abaissèrent leurs piquants, et avec mille précautions, ils trouvèrent enfin la bonne distance. 

Et le vent qui soufflait, ne leur faisait plus mal, ils pouvaient dormir, bien au chaud, tous ensemble….. 



…Pour la
Côte d’Ivoire Nouvelle !


Par 
- Etoile de la Paix de l'ONUCI, 2007
- Past President du Rotaract Club Abidjan Atlantis
- Senghorien, 2008

vendredi 29 juillet 2011

Aucun acte n'est isolé !!!


Aucun acte n'est isolé

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Petite histoire :
En effet, un monsieur descend d'un taxi qui vient juste de garé sur le trottoir. Ayant fermé la portière de la voiture, il tire un mouchoir « cleanex » de sa poche et cire sa paire de soulier; Une fois qu’il a fini, il froisse le mouchoir, regarde autour de lui, ne voyant pas de poubelle, il le jette par terre en se disant que ce n’est pas grave...


Observation :
Supposons que 515 personnes (individuellement) se disent que laisser tomber un emballage de bonbon n’est pas si grave, on se retrouverait avec 515 papiers bonbon. Trois jours après on aura à débarrasser 1545 ordures. Au bout d’un mois, on verra 15450 ordures trainant dans le rue...




Leçon de vie :
Evitons de d'agir comme si nous étions seules et comme si nos actes sont isolés. Une cité, un quartier, une ville... propre, cela passe aussi par toi !

CHANGEONS DE MENTALITE !!!
CHANGE YOUR MIND & THINGS WILL CHANGE !!!

lundi 18 juillet 2011

Paix et Réconciliation : Quelles contribution des clubs ROTARACT?

Introduction

La côte d’ivoire a vu son intégrité volée en éclat  en 2002 pour faire place à une crise sans précédant, elle-même émanation de plusieurs remous sociaux mal exorcisés et  dont le dénouement s’est soldé par une crise postélectorale armée en 2011 occasionnant un peu plus de 3000 morts, plusieurs arrestations, des disparus et un peuple complètement divisé.
Fort de cela les nouvelles autorités se sont données pour priorité des priorités de rétablir la cohésion sociale en prônant la réconciliation, seule garantie d’une paix retrouvée.
Dans cet élan de mobilisation nationale, que peut donc le Rotaract ?


ETAT ACTUEL DU PAYS

Tous les indicateurs sociaux indiquent une alerte maximale:
ü  Situation de crise de confiance et atmosphère de méfiance entre les habitants entrainant  une désorganisation de la vie sociale car à plusieurs endroits, les populations se regroupent par affinité politique.
ü  Situation militaire inquiétante due aux exactions (vols, braquage, agressions) et surtout le racket qui tente de survivre malgré les efforts des autorités
ü  Situation  économique et sociale inquiétante traduite par la paupérisation des populations avec à la clef un taux de chômage accru et un système de santé presqu’en faillite


BESOINS DU PAYS

Le Pays a besoin de paix pour redécoller et cela se traduit a travers :

La Réconciliation
ü  Militaire (faire collaborer les FAFN et les FDS=FRCI)
ü  Politique (nécessité absolue de la participation de tous les partis à la vie politique du pays)
ü  Sociale (Retour à la cohabitation et à la cohésion sociale)
La reconstruction
ü  Militaire (Bâtir une armée républicaine autour des valeurs réelles qui sont les leurs)
ü  Morale (Moralisation de la vie publique à commencer par les autorités elles même)
ü  Physique (Réhabilitations, et construction et développement d’infrastructures…)


ROTARY INTERNATIONAL ET LA PAIX DANS LE MONDE

En créant le Rotary, Paul Harris insistait déjà sur la nécessité de « faire preuve de tolérance ». Deux guerres mondiales plus tard, « l’entente mondiale et la compréhension des cultures » sont inscrites  au rang de ses priorités.

Au lendemain de la seconde guerre mondiale en 1946, quarante-neuf Rotariens participent à la rédaction de la Charte des Nations unies.

En 1999, dans le but de promouvoir la paix et de préparer la future génération de leaders locaux et mondiaux, la Fondation a créé les Centres du Rotary pour études internationales sur la paix et la résolution des conflits.





Le ROTARY EN ACTION (clubs Rotary, Rotaract & Interact)

Depuis sa création, le Rotary International par l’intermédiaire de ses différents clubs membres (Rotary, Rotaract & Interact) n’a cessé de poser des actions destinées à réduire la paupérisation et les risques sanitaires
Il ne s’est jamais lassé d’agir face à la raréfaction des ressources naturelles, qui sont autant de facteurs de risque de rivalités violentes entre les hommes. Et à s’investir dans des actions de médiation.


Le ROTARY EN ACTION (Actions, Moyens, Cibles)

Dans le cas de la Côte d’Ivoire, les besoins étant connus, il s’agira pour les clubs Rotaract  de :


ü  Donner la priorité à une Communication pour un Changement de Comportement

ü  Mettre l’accent sur la sensibilisation à la tolérance et au pardon vrai


ü  Monter ou privilégier les actions en faveur non seulement des personnes les plus vulnérables (femmes, enfants, handicapés…) mais aussi des zones les plus sinistrés



Conclusion

S’il est vrai que c'est dans l'esprit des hommes que naissent les guerres alors c'est dans leur esprit qu'il faut ériger les défenses de la paix.

Aussi pour une Côte d’Ivoire en paix, gage de développement, le ROTARACT trouvera sa voie en s’appliquant à construire la paix dans l’esprit des hommes et des femmes, vivants en Côte d’Ivoire





Par :

Dougnoumassigué SILUE
Etoile de la Paix, nommé par l’ONUCI depuis 2007
Président 2008-2009 (Rotaract Abidjan Atlantis)
Représentant Résident (AFRICARACT)

mardi 7 juin 2011

Les défis du retablissement !!!

Réconciliation
Peuple (entre les différents peuple de la Côte d'ivoire par la suppression des barrières ethniques)
A ce propos malgré l'appel lancé par le président de la république le 21 mai 2011; date de son investiture, certains peuple de la Côte d'ivoire continu de se croire propriétaire du pouvoir d'état  pendant qu'à l'opposé d'autre se sente
Politique (existence d'une démocratie caractérisé par l'existence d'une opposition et le droit à la liberté d'expression)


Reconstruction
Civique

Administrative



Sécurité
  • Militaire
  • Économique
  • Alimentaire

lundi 14 mars 2011

MESURE DE NATIONALISATION DE LA COMMERCIALISATION ET DE L’EXPORTATION DU CAFE ET DU CACAO PAR M. LAURENT GBABGO : QUELLE PORTEE SUR LA FILIERE ?


Depuis la crise post électorale du 28 Novembre 2010, l’on assiste à un véritable chassé-croisé entre les deux principaux protagonistes de cette crise majeure. Les manœuvres se succèdent de part et d’autre. Tant au plan politique, diplomatique, militaire que économique. La dernière en date est la décision de M. Laurent GBAGBO de vouloir nationaliser la commercialisation et l’exportation du café et du cacao. En réponse à la mesure de suspension des exportations de ces produits décidée par son rival Alassane OUATTARA.

Quelle est la portée de la décision prise par M. Laurent GBAGBO ?
Après une analyse des enjeux de la bataille de tranchée que se livrent les deux camps dans cette filière (I), nous exposerons les procédures actuelles de commercialisation et d’exportation pratiquées (II) pour enfin apprécier les limites de la mise en œuvre de la décision de M. GBAGBO dans le contexte actuel de la Côte d’Ivoire (III).


I- LES ENJEUX DU CONTROLE DE LA FILIERE CAFE CACAO

Ces enjeux s’analysent autour de la position mondiale de ces produits d’une part (A) et de leur impact sur les finances publiques d’autre part (B).

A- La position mondiale du café et du cacao made in C.I

Si la Côte d’Ivoire arrive au 5e rang mondial des pays producteurs de café. C’est bien dans le domaine du cacao que ce cher pays excelle. En effet, avec environs 1.500.000 tonnes produits chaque année en moyenne ce qui représente 40% de la production mondiale. La Côte d’Ivoire se hisse depuis bien des années au 1er rang des producteurs mondiaux de cacao. Les perspectives faisaient même état d’une hausse de 10% de la production sur la campagne 2010-2011. Toute chose égale par ailleurs. Ainsi, la Côte d’Ivoire est non seulement le premier  pays producteur mais également le premier exportateur mondial de cacao. C’est d’ailleurs pour cette raison que l’on constate toujours un affolement des cours mondiaux de ce produit au London Commodity Stock Exchange (L.S.E) chaque fois qu’il y’a une réelle ou supposée instabilité politique en Côte d’Ivoire.
Mais quel impact a cette position concurrentielle dominante sur les finances publiques ivoiriennes ?

B- Impact sur les finances publiques en Côte d’Ivoire.

Le secteur agricole est le premier secteur d’activité en CI. Or, la culture du café et du cacao constituent la part la plus importante de ce secteur agricole. D’où des retombées importantes en termes d’impôt sur les Bénéfices Agricole et Commercial. Toujours au plan des prélèvements fiscaux, outre le D.U.S (Droit Unique de Sortie) qui représente une source d’alimentation importante des recettes publiques, vous avez aussi les prélèvements parafiscaux effectués par le C.G.F.C.C (Comité de Gestion de la Filière Café Cacao). Par ailleurs, il ne faut pas négliger l’effet entraînant d’un bon fonctionnement de la filière café cacao sur des activités tels que le transport. De plus, la filière café cacao représente 30% du P.I.B (Produit Intérieur Brut) de la Côte d’Ivoire.
Toutefois, l’existence de cette activité est mise en œuvre par des procédures.



  
II- LES PROCEDURES ACTUELLES DE COMMERCIALISATION ET D’EXPORTATION

Elles concernent la commercialisation d’une part (A) et l’exportation d’autre part (B).

A- La commercialisation

Après la production, le cacao est soit vendu bord champ ou groupé pour le compte des coopératives qui se chargent de la vente au nom des adhérents de la coopérative. Les achats sont ensuite le fait de représentants soit des sociétés de négoce, d’entreprises industrielles ou d’entreprises exportatrices. Il faut préciser qu’il s’agit d’entreprises privées (filiales de grands groupes occidentaux pour la plupart) disposant de fonds importants pour effectuer les achats. L’Etat ne jouant ici qu’un rôle purement et simplement régalien. Il va sans dire que l’existence de la concurrence dans ce milieu d’affaires est en principe un gage de compétitivité et par conséquent de prix d’achat satisfaisants. Même si dans la pratique, la trop forte implication de nombreux intermédiaires émiette les prix d’achat aux producteurs.
L’exportation constitue une autre phase importante dans la chaîne des opérations de ces produits.

B- L’exportation

Elle est exclusivement du ressort des entreprises exportatrices et concerne les matières premières ou produits dérivés tels que les fèves, la poudre, le beurre et les masses pour ne citer que ceux là. Tous ces produits vont ensuite se retrouver chez les artisans ou industriels chocolatiers après les ventes préalablement effectués sur les marchés spéculatifs. Il va sans dire que les activités portuaires ont une place prépondérante dans les transferts de flux physiques. Le constat c’est que beaucoup d’acteurs du secteur privé exercent dans la filière café cacao. De ce fait une nationalisation précoce et sous contrainte de certaines activités de cette filière par le camp Laurent GBAGBO présente bien des limites.
 

III- LES LIMITES DANS LA MISE EN ŒUVRE DE LA DECISION DE M.GBAGBO VU LE CONTEXTE ACTUEL DE LA C.I

La nationalisation est l’acte par lequel un Etat décide de prendre en charge des activités économiques qui étaient initialement dévolues à des particuliers. Dans le cas de la Côte d’Ivoire, cette mesure présente des limites liées à la commercialisation d’une part (A) et à l’exportation d’autre part (B).

A- La commercialisation

En voulant se substituer aux acheteurs, l’administration Laurent GBAGBO reste confronté au problème de moyens financiers pour effectuer les achats. En effet, cette activité nécessite des capitaux importants. Or, même si l’administration GBAGBO n’est pas encore en situation de cessation de paiement, celle-ci éprouve déjà bien des difficultés à honorer ses engagements classiques en termes de dépenses publiques. A fortiori, dégager des fonds pour des investissements d’achat de fèves de cacao.
La mobilisation de fonds d’investissement privés nationaux ou internationaux aurait pu constituer une alternative. Mais ne jouissant d’aucune légitimité internationale et eu égard à la grave crise monétaire et financière qui frappe la C.I, cette solution est vouée à l’échec.

B- L’exportation

L’administration GBAGBO veut exporter les stocks de cacao. Mais cette décision se heurte à la mesure d’interdiction aux navires européens de desservir les ports ivoiriens. Dans la pratique, l’on constate l’application effective de cette mesure. Car les ports d’Abidjan et de San pédro restent désespérément vides. D’où la difficulté pour l’administration GBAGBO de pouvoir affréter des navires.
L’administration GBAGBO veut vendre les stocks de cacao sur le marché international. Mais là encore l’illégitimité de cette administration pourrait emmener les institutions internationales à la mise sur pieds d’un embargo international sur le café et le cacao made in C.I. Toutefois, l’administration GBAGBO voudra certainement faire appel à son duo de "sauveurs patentés". A savoir la RUSSIE et la CHINE. Cependant, le niveau de consommation du cacao dans ces deux pays reste relativement faible (7,4% pour la RUSSIE) comparativement à celui des pays occidentaux (80%). L’on va donc assister à un rétrécissement et à une canalisation du marché. L’administration GBAGBO va finalement se retrouver sur un marché d’oligopsone (quelques acheteurs pour beaucoup de vendeurs). Avec en sus une élasticité prix de la demande qui va baisser.
Le projet de nationalisation de M.Laurent GBAGBO présente bien des handicaps qui semblent insurmontables dans le contexte actuel de la Côte d’Ivoire.


En définitif, au regard des procédures de commercialisation et d’exportation en vigueur dans la filière et compte tenu des nombreuses limites auxquelles sont confrontées M. Laurent GBAGBO dans la mise en œuvre de son projet de nationalisation. Nous pouvons affirmer que cette mesure ne peut avoir une portée significative dans le contexte actuel de la Côte d’Ivoire. Comme c’est le cas pour certaines banques commerciales, le baroud d’honneur qui consiste à nationaliser à tour de bras semble avoir un effet plus médiatique que réaliste. A moins que l’on assiste, non pas à une prétendue nationalisation mais plutôt à de véritables expropriations somme toute illégale.

Famoro KOULIBALY
Diplômé Polytechnique C.I
Maîtrise en Sciences de Gestion, UFR des Sciences Economiques et de Gestion (Université d’Abidjan Cocody)

jeudi 6 janvier 2011

(USA) Les républicains au Congrès

Victorieux lors des élections de mi-mandat, les républicains ont officiellement pris le contrôle de la Chambre des représentants. Ils ne cachent leurs ambitions : réduire les dépenses publics, et préparer la présidentielle de 2012.

C'est là le vrai visage de la démocartie. Bon nombre de personnes estiment que cette situation met en male le regime OBAMA (démocrate). Il important de noter que autant que les démocrates, les républicains ne travaillent qu'à la protection et à la sauvegarde des intérêts américains. Les republicains dans cecontexte ne se permettront pas de mettre les batons dans les roues d'OBAMA juste pour le plaisir de le nuire.

OBAMA n'a pas été élu ni par les africains, ni pour les africains. Il n'est plus africain car il est américain car c'est cette nationalité qu'il possède. Le Ghana qu'il a visité depuis son élection va bientôt classé "Pays émergeant" à cause des efforts que fait ce pays en matière de bonne gouvernance et de promotion du libéralisme.

Concernant la crise en Côte d'Ivoire, si c'était BUSH qui était au pouvoir, il y a longtemps que Gbagbo serais partis car les republicains sont enclins aux intervention militaire que les démocrates. Je tiens pour preuve, BUSH PERE a fait la guerre du Golf (tempête du désert) a SADAM et BUSH FILS l'a retrouvé, arrêté, fait jugé et exécuté. C'est justement parce que c'est OBAMA un démocrate que nous en somme là. Il n'est pas trop favorable pour une option militaire.